lundi 3 juillet 2017

Lectures juillet 2017 #1

En juillet 2017, j'ai décidé de modifier le concept de mes chroniques du mois, elles paraîtront au fur et à mesure et non d'un bloc en fin de mois, j'ai aussi rajouté la date de lecture et un petit résumé en plus de mon  avis, ainsi qu'un compteur de pages lues  

Compteur Pages lues : 648





TERMINE le 2 juillet (648 pages)

RESUME : Cinq ans plus tôt, Kushi, la fille de l'inspecteur Yeruldelgger a été enlevée et assassinée pour l'obliger à abandonner une enquête sur la corruption liée au rachat des terres de la steppe mongole.
La découverte du cadavre d'une autre fillette va le replonger dans les mêmes tourments. Dans un pays à l'histoire et aux paysages sauvages, une guerre sale d'argent et de pouvoir s'est déclarée autour d'une des richesses minières les plus rares et les plus convoitées de la planète.
Pour lutter contre les puissances qui veulent s'accaparer son pays, Yeruldelgger va puiser ses forces dans les traditions héritées des guerriers de Gengis Khan, dans les techniques modernes d'investigation, et dans la force de ses poings.
Parce qu'un homme qui a tout perdu ne peut rien perdre de plus. Il ne peut que tout reconquérir. Peu à peu, sans pitié ni pardon...



Ma note : 💓💓💓💓

LIVRE AUDIO / FORMAT PAPIER
A travers les steppes venteuses, se cachent bien des affaires plus ou moins sordides. Yeruldelgger est un flic bourru et entêté comme on les aime, à la logique implacable et non dénué d'un humour caustique et grinçant. L'histoire commence avec un triple meurtre raciste et pervers, la découverte d'un petit cadavre dans la steppe. Le déroulé de l'intrigue est superbement ficelé, émaillée de détails culturels passionnants sur les traditions mongoles. Le panel de personnages est varié, complémentaire. Et même si l'on devine rapidement qui se cache derrière toutes les affaires, on suit avec avidité le cheminement de pensée du commissaire cabossé.
Drôle, dramatique, insidieux, ce polar est un bijou du genre. Pour les amateurs d'action, de suspense, de mysticisme et de grands espaces.




CHRONIQUE A VENIR











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